Salut tout le monde,
Voici la nouvelle série de photos du Mexique où je me trouve en ce moment depuis le 17 février, ça passe vachement vite !
Bon, il me restais à vous parler de la dernière partie de la nouvelle Zélande, région coromandel, auckland, etc . mais on m’a piqué mon appareil photo (et ne me demandez pas où), du coup j’ai rien à vous montrer, mais de toute façon je n’aime pas Auckland, comme ça c’est réglé.
Bien, donc, je suis partis en avion pour Mexico city, en faisant escale un jour à Los Angeles , au début, j’ai flippé car je croyais m’être trompé dans la date du billet pour le second vol, mais j’ai oublié que le décalage horaire est dans l’autre sens dans cette partie du monde!
Il y avait une navette gratuite allant de l’aéroport à l’auberge, mais quand je suis monté dedans, j’ai bien demandé au chauffeur si c’était gratuit comme précisé tellement j’étais épaté par le « luxe » de la carriole !!!
Sièges en cuir, télé, sono, bar, etc.
Ci-dessous les endroits visités au Meique :
Commençons par teotihuacan, une cité de plus de 2000 ans, à deux pas de Mexico, assez impressionnante quand on la découvre pour la première fois !
Définition wikipedia :
Teotihuacan (qui s’orthographie également Teotihuacán1, avec un accent sur la dernière syllabe, même si cela ne correspond pas à la prononciation en nahuatl2), est un important site archéologique de la vallée de Mexico, contenant certaines des plus grandes pyramides méso-américaines jamais construites en Amérique précolombienne. Outre ses structures pyramidales, Teotihuacan est également connue pour ses grands complexes résidentiels, sa chaussée des Morts, et ses nombreuses peintures murales aux couleurs bien conservées.
La ville a sans doute été construite aux environs de 200 av. J.-C., et habitée jusqu’à sa chute entre les vie et viie siècles. À son apogée dans la première moitié du Ier millénaire, à l’Époque classique, Teotihuacan était la plus grande ville de toute l’Amérique précolombienne. À ce moment, elle pourrait avoir compté plus de 200 000 habitants, ce qui la plaçait à l’époque parmi les plus grandes villes du monde. La civilisation et le complexe culturel associé au site sont également désignés sous le nom de Teotihuacan ou Teotihuacano.
C’est toujours sympa de s’arrêter au stand pour refaire le plein, et c’est parti pour les tacos ! Je trouve la nourriture Mexicaine pas extraordinaire, voir assez lourde à digérer et assez grasse. Mais le pire, c’est la consommation de Coca Cola et autres boissons sucrées et toutes les cochonneries dont les Mexicains son fan !!
Actuellement, plus d’un enfant sur 3 au Mexique aura du diabète étant adulte ! sans compter l’obésité omniprésente.
Mexico est une chouette ville, du moins son centre historique après le reste est trop grand à explorer, même avec le métro, qui je trouve, fonctionne bien.
Ici le palais des beaux arts, chouette à visiter, avec des guides qui expliquent les toiles de peintures accrochées au mur, bien intéressant quand on y connais quedal comme moi.
Il y a énormément d’églises et cathédrales comme dans beaucoup de villes du Mexique d’ailleurs : quand on pense que beaucoup des pierres qui ont servi à la construction proviennent des constructions Maya dépouillées par les espagnols !
Là, je me suis arrangé pour mettre l’appareil photo bien vertical, et on vois clairement qu’il manquait des études de sol avant construction !
Une des rues principales du centre, avec toujours un trafic dense
Qui a besoin de se faire cirer les pompes ?
La photo de dessous est une rue où je ne suis pas allé, car un policier m’a conseillé de ne pas y rentrer si je voulais pas me faire planter au couteau, il m’a dis : le dernier touriste qui est entré dans cette rue avec un appareil photo est ressorti les deux pieds devant avec un couteau de 20 centimètres dans le bide, mais bon, il parlait apparemment pas Espagnol…
J’en reviens toujours pas du pognon qui est alloué au matos de police : faut voir les gros 4×4, les voitures sportives, les camions de fous, etc. etc.
La place centrale :
Même s’il y a beaucoup de flics, ils sont quand même pas aussi stressés que chez nous !
Petite visite au parc pour rejoindre le musée d’anthropologie, toujours agréable dans une grande ville :
Il y a plein de petits écureuils rigolos courant dans tout les sens :
Le musée : je vais pas vous faire un dessin, il y a plein de trucs intéressant sur l’histoire du Mexique et de la région amérique centrale :
Une superposition d’images allant du crâne à la tête finie d’un personnage :
Les hommes volants : voladores : ils montent sur un mât, s’attachent avec une corde qu’ils enroulent au mât, puis se laissent descendre dans le vide en tournant autour du mât tout en jouant une musique traditionnelle, assez impressionnant comme truc :
Fête du nouvel an chinois dans le quartier chinois :
Ca c’est de l’optimisation :
Et ça, c’était mon principal problème au Mexique : des pâtisseries où l’on peut choisir parmi des dizaines de gâteaux différents, forcément, j’en prenais à chaque fois trop !
Le musée Soumaya :
Le Museo Soumaya est un musée privé, avec entrée gratuite située dans la ville de Mexico, qui contient un large éventail d’œuvres d’art, des reliques religieuses, des documents historiques et la collection de pièces de Carlos Slim et sa défunte épouse Soumaya, à partir de laquelle le nom du musée . Fondée en 1994, le musée est en fait détenu par Carlos Slim Fondation et, avec plus de 66.000 œuvres d’art en son sein, est un must pour les amateurs d’art et pour ceux qui sont toujours à la tête de la ville de Mexico. L’intérieur du musée, les visiteurs peuvent admirer les chefs-d’œuvre de nombreux artistes européens célèbres du XVe au XXe siècle, en particulier les plus grandes sculptures qui sont situés à l’extérieur de la France par Auguste Rodin, sculpteur français qui a vécu entre la fin du XXe siècle XIXe et du début et de qui était admirateur Soumaya. En plus de préserver les œuvres d’art mexicain, le musée contient la plus grande collection de pièces de monnaie dans le monde de la pré-hispanique et coloniale. Parmi les chefs-d’œuvre d’autres artistes européens, les visiteurs peuvent également admirer les œuvres de Salvador Dali, Pablo Picasso, Léonard de Vinci, Pierre-Auguste Renoir, Joan Miro, Vincent van Gogh, Henri Matisse, Claude Monet, Bartolome Esteban Murillo et d’autres.
Même les toilettes semblent faire partie d’un autre monde !
Et après une dure journée de visite, dégustation de crickets grillé !
Vue de Mexico depuis le haut de la tour latino americana :
On voit bien la pollution là :
La place des Mariachis :
Ambiance garantie :
Après quelques jours de découverte de cette sympathique ville, direction San Miguel de Allende par le bus.
Alors San Miguel de Allende, c’est chouette , pas trop grand, et l’ambiance est plus détendue qu’à Mexico city.
Alors on voit beaucoup de photos de rues, mais ça c’est un peu le problème je trouve : il y a beaucoup de propriété fermées par de grands murs et on a un peu la sensation d’être « enfermé dehors » !
Sympa le proprio qui veut pas couper l’arbre : y a qu’à construire autour !
J’ai retrouvé le moustique :
Petit détour à la bibliothèque principale :
L’une des places centrales toujours animées :
Le soir, lorsque le soleil se couche avec les jeux de lumière, l’ambiance est vraiment sympa:
Je me suis amusé à faire des photos à 4 heures du mat pour avoir personne dans les rues, mais je suis pas bon dans les réglages !
Juste à côté de la ville se trouve le parc d’un riche propriétaire qui l’a offert à la ville, petite balade à la découverte de cactus et autres bizarerries :
T’as intérêt à regarder ou tu poses ton derche !
Ici, on est dans un petit bled à côté de San Miguel, bon, y a pas grand monde et le touriste est attendu, du coup, je suis parti me balader un peu à pied autour du village.
Une fois San Miguel terminé, direction Guanarjuato :
définition wiki : Guanajuato est la capitale de l’État de Guanajuato, Mexique. D’une population de 70 798 habitants (153 364 en comptant l’agglomération), elle se situe à environ 300 kilomètres au nord-ouest de Mexico.
Ancienne ville minière aujourd’hui connue pour son université, son centre de recherche en mathématiques (le Centro de Investigación en Matemáticas, ou CIMAT3), ses momies, son centre historique classé au patrimoine mondial de l’humanité par l’UNESCO. Chaque année à l’automne, elle est le siège du Festival International Cervantino.
Ici, c’est une ancienne mine, que l’on doit payer pour visiter, mais en fait, c’est juste une entrée, c’est à dire un escalier qui descend une vingtaine de mètres et c’est tout : en gros l’arnaque ! J’ai compris pourquoi à l’entrée du site il y avait un écriteau qui disait de rester poli envers le personnel de la caisse…
Par contre, l’endroit et truffé de boutiques et restaurants.
L’université : impressionnant quand on est au pied !
Le funiculaire de Guanajuato : permet de voir la ville sous un autre angle et en hauteur, un moment sympa :
De super bonnes glaces vendues au 1/2 litre, ça passe bien pour digérer :
L’hôtel où tait mon dortoir :
Les chiens sont détendus dans cette ville, signe que la population aussi.
Le musée des momies : on m’avait venté le truc comme quoi c’est très connu et impressionnant à voir, bin j’ai pas trop accroché :
C’est marrant de se balader dans les rues surplombant la ville, mais il fait une de ces chaleurs !
On voit encore des livreurs avec des mules pour transporter les denrées dans les rues escarpées où les véhicules ne peuvent aller :
Le paradis de l’automobiliste : contrôle technique ? c’est quoi ça ?
En se baladant au hasard dans la ville, on tombe sur de jolies places tranquilles et jolies, impeccable pour venir déguster une bonne glace au calme et à l’ombre
Une chose m’a gêné dans cette ville comme toutes les autres d’ailleurs : les véhicules : il y en a trop pour de si petites rues et autant de monde, c’est infernale, ça pue et c’est tout le temps bruyant !
M’enfin, un tour au marché casser une croûte et boire un bon jus d’orange frais, et c’est bon :
Guanajuato est une très jolie ville, avec une ambiance sympa, ceci dit, il est temps de continuer, direction Taxco.
Taxco, appelée dans certains livres « Tasco », a joué un rôle majeur dans l’histoire des mines d’argent au Mexique.
La ville naquit en 1528 lors de la colonisation espagnole et de l’arrivée de Hernán Cortés qui découvrit de nombreuses mines d’argent. La ville prospéra largement jusqu’au xviiie siècle et devint l’un des plus grand centre miniers d’argent du Mexique, après avoir le premier en exploitation, un peu avant celui de Pachuca, située à 94 km au nord de la cité de Mexico, aujourd’hui capitale de l’état d’Hidalgo.
La découverte en 1548 des mines de Zacatecas, à 600 kilomètres de Mexico, puis celles en 1560 de Guanajuato à mi-chemin entre Mexico et Zacatecas, ont ensuite fait un peu d’ombre à Tasco.
Aujourd’hui, les gisements sont pratiquement épuisés et la ville s’est reconvertie dans le tourisme.
Taxco est classée monument historique national grâce à son architecture coloniale et à son église baroque Santa Prisca construite en 1748 à l’initiative de José de la Borda
Impressionnante vue n’est-ce pas ?
Les taxi de Taxco, qui peuvent vous emmener n’importe où dans la ville même dans les rues les plus abruptes ! par contre, il y en a beaucoup trop !
Vue depuis la colline surplombant la ville au coucher du soleil !
Parcours du combattant pour aller voire le petit jésus au sommet de la colline !
Mais bon, la vue en vaut la chandelle !
Bien, direction Cuernavaca, histoire de faire un stop sur la route Taxco – Veracruz.
Déjà, on commence par repérer les points de survie : en l’occurrence, un petit resto au centre décoré de milles couleurs que j’ai trouvé sympa, seul point noir : il est sur les guides touristiques et les prix en sont impactés.
Petite visite du centre, notamment la place avec la cathédrale et ses églises :
Vous l’aurez noté, au Mexique, on ne manque pas de cathédrales et d’églises.
Le soir venu, place aux orchestre et à la fiesta !
Un peu d’histoire avec le site de Xochicalco juste à côté de Cuernavaca :
Voilà pour cette micro étape avant de repartir pour Veracruz.
Alors j’en ai pas parlé, mais tout mes déplacements se font en bus pour les longues distances et en colectivo ( genre de taxi collectif qui trimballe 5 personnes ou plus à la fois pour diminuer le prix de la course) pour les courtes distances (moins de 50 bornes).
Veracruz, je n’y suis pas resté longtemps, bien qu’étant une place assez sympa, je n’y ai pas trouvé grand intérêt :
Le grand café de la Parroquia, ouvert depuis plus de 200 ans, avec des serveurs très (trop) pro, une ambiance familiale, et très connu au Mexique, je me devais d’aller y faire un tour :
Le musée de la marine, pas cher et ma foi assez intéressant :
Sympa la petite salle « cinéma » avec fond vert : on grimpe sur l’estrade et on se retrouve au milieu de l’océan en train de voguer !
Alors, je fais toujours des photos en train de manger, mais c’est juste parce que j’ai le temps à ce moment là de sortir mon appareil photo hein !
A Veracruz, il y a un aquarium à visiter, et pour tout dire, il est assez impressionnant et vachement bien fait, à faire.
Un spectacle de dauphins : première fois de ma vie que j’en vois un, et que j’approche des dauphins d’aussi près, d’ailleurs je me rappelle pas avoir vu des dauphins en vrai, moment très cool !
On peut voire des requins en passant dans un tunnel sous leur aquarium, ça en jette !
Un requin blanc de 6 mètres, on voit pas bien sur la photo, mais quand on est à côté, on comprend pourquoi on a aucune chance d’en réchapper !
Bien, Et on continue pour la suite, direction Oaxaca.
Oaxaca est une chouette ville, cependant assez ressemblante aux autres, le principe étant : une place centrale regroupant les édifices religieux et d’état, puis un système de rues style colonial (en quadrillage) en s’éloignant du centre.
Une manif au centre ville contre la corruption au sein du gouvernement :
Une rue bouchée quelques minutes et c’est l’agglomération de bus ! les véhicules trop nombreux en ville sont vraiment le point noir de celle-ci.
Visite d’un musée d’art contemporain, très intéressant :
Un de mes passe-temps favoris, débusquer les graffitis ou du moins les peintures artistiques sur les murs de la ville dans des coins paumés :
Bien sûr, on ne part pas sans jeter un coup d’oeil aux ruines de Monte Alban :
Et aussi faire un petit tour à El Tule pour voir cet arbre qui aurait entre 1500 et 3000 ans, m’enfin c’est une belle bête :
En clair :
Hauteur : 42 mètres / Poids : 636 tonnes / Volume : 817 M.cube / diamètre : 14 mètres
De retour au marché d’Oaxaca, énorme où l’on trouve toute sorte de fruit à vraiment pas cher :
Un concours de beauté sur l’une des places de Oaxaca : le principe : Les miss défilent autour de la statue centrale, et les gens achètent et remettent des fleurs à la candidate qu’ils ont choisi.
Celle qui a le plus de fleurs gagne. Je sais pas à quoi servaient les gars présents, peut-être à porter le surplus de fleurs des candidates…
Et je reprend ma route pour Puerto Angel, un petit bled en bord d’océan pour me détendre un peu et me baigner, ça tombait bien, en hors saison, j’avais l’auberge pour moi tout seul et à prix réduit !
Vue de la plage de Zipolite à 45 min de marche :
Et après m’être bien reposé, direction Tehuantepec, un petit bled sur le chemin de San Crisobal de las casas.
C’est un peu moins animé que les grandes villes et peut-être plus familial
Et allez, zou c’est reparti pour San Cristobal des las casas, une ville hyper touristique dans le Chiapas.
Et on retrouve encore le système de rues où on a l’impression d’être « enfermé dehors » :
Une grande église avec sa place « squattée » par des stand de commerce :
Mort de rire !
Un vendeur ambulant de poulets :
Celui-là doit être en rapport avec les 43 étudiants assassinés par le gouvernement apparemment qui dit dément en disant que c’est un groupe criminel etc.
Un petit village autour de San Cristobal jusqu’à quand on me dise qu’il y avait 50 000 habitants, ici les touristes sont attendus de pied ferme !
Le marché de San Cristobal :
Toujours autant de voitures dans les rues !
Un autre village avoisinant:
Les mecs ont tellement des grosses bagnoles qu’ils ne peuvent même pas circuler dans les rues, à quoi ça rime sans déconner ? je sais bien que chacun fait ce qu’il veut et j’évite de critiquer, mais bon, là je peux pas m’en empêcher, na !
Et c’est reparti pour un autre site, et ce sera Palenque.
Alors Palenque, j’ai pas aimé la ville, m’en fous, par contre le site historique et vraiment sympa, surtout que je me suis débrouillé pour y entrer à l’ouverture et donc les premières 15 minutes, on devais être 3 ou 4 pélos , sympa pour les photos.
Un événement imprévu : un spectacle de saut dans un cercle enflammé donnée par des étudiants, vachement impressionnant :
Et juste à côté, le spectacle traditionnel à été repoussé à la fin du premier, parce que personne regardait forcément !
Le site de Palenque sans touristes, vraiment chouette !
20 minutes après, c’est mort !
Après Palenque, direction Campeche, un port et des fortification au bord du golfe du Mexique.
C’est chouette mais bon, ça me laisse de marbre : c’est trop touristique pour moi.
Chaque fois que je vois le matos des flics, j’hallucine ! combien ça doit coûter tout ça encore !
Alors ça c’est bien bon, un cocktail de fruits de mer, original et rafraîchissant.
Il a fallu que je change de nouveau de godasses, parce qu’au bout d’un moment, elles me servent plus à rien !
Je me suis dis tiens, je vais aller voir le spectacle payant pour les touristes, il paraît qu’il y a des tirs de canons, et je m’attendais à voir des pirates et plein de truc du genre, surtout pour le prix.
Ben non, rien de tout ça, juste un mec qui parle dans son haut parleur et nous débite de l’histoire chronologique , on nous trimballe un peu autour du mur, on nous fait asseoir devant une projection vidéo enregistrée qui nous redonne de l’histoire chronologique avec deux gugusses au dessus du mur qui sont censés être des acteurs !!!!
Bref, je me suis cassé avant la fin tellement j’ai trouvé ça nul !
Il aurait mieux valu que je vienne à la place centrale où étaient projetées de belles images sur la façade d’un bâtiment central, ambiance garantie.
Bref, pas spécialement marqué par Campeche, je repars pour Merida qui à ce qui paraît est sympa, alors oui, mais ça me change pas énormément des autres villes.
C’est toujours sympa de casser la croûte au milieu de la rue avec les habitants du coin.
J’ai assisté à une reconstitution d’une cérémonie religieuse maya avec un macht de pelote où il est possible de toucher la balle (caoutchouc de 3kg) uniquement avec la hanche.
Les halles du marché :
T’as pas intérêt à t’approcher trop près des roues du bus sinon couic !
Visite d’un musée sur l’art régional
Depuis Merida, je suis parti voire ce que donnait Izamal, un petit bled à côté : moins grand et plus campagnard, c’était plus marrant.
Et on peut y visiter le plus vieux couvent construit par les Espagnols, et peut-être le plus grand, en tout cas, ça en jette :
Les bonnes soeurs vendaient des gâteaux, du coup, j’ai été tester pour la science, pas mauvais.
Une des particularités de cette ville est que tout les bâtiments du centre sont peins en jaune !
Tiens, des ruines maya dans le village, et apparemment, les pierres ont été piquées pour construire le couvent.
J’ai pris en photo les toilettes pour me rappeler que dieu n’aime pas les pauvres, en effet, les chiottes du couvent étaient payant !! fric, fric, fric !!
Elle roule encore, véridique !
Petit concert sur la place centrale, mais bon, il y avait plus de pub que de musique, du coup je suis allé me boire une binouze.
1 litre la binouze quand même, alors évitez de faire comme moi : la boire avant de prendre le bus…
Bien, continuons donc vers Valladolid, une petite ville du Yucatan.
Même topo , jolie petite ville mais que l’on peut utiliser comme base pour visiter Chichen Itza et Ek Balam, deux sites archéologique dont 1 est majeur au Mexique.
Chichen Itza : l’un des principaux voir le plus connu des sites archéologiques du Mexique.
D’ailleurs, en le visitant, je me suis dit mais ça me dit quelque chose, et oui, c’est le site où a été tourné une partie du film « la vengeance du serpent à plumes » avec Coluche, ça pour une surprise.
c’est cette construction qui m’a fait tilter, notamment les deux piliers au centre :
Pose tacos après toutes ces émotions :
Et le deuxième site archéologique : Ek Balam, plus petit que Chichen mais sympa à faire, et beaucoup moins fréquenté.
Après, pour repartir du site, le taxi me demandais 10 fois le prix et j’avais pas envie d’attendre un collectivo, je suis donc reparti à pied et j’en ai profité pour m’arrêter au village d’Ek Balam à côté.
Bien, et c’est reparti pour Tulum, un mixe entre petite ville, ruines maya au bord de la mer et plages.
Je vous le dis de suite, j’aime bien les ruines et les plages publiques, le reste me gonfle. j’aime pas la ville en retrait de 6 km vous forçant à payer pour aller à la plage si vous ne voulez pas marcher quand il fait 35°C, tout est buiness touristique, plages privées quasi tout le long de la cote etc .
Et je finirai par Holbox, une île au nord est de la péninsule du Yucatan et Isla Mujeres pour la détente au soleil avant d’aller à Cancun (ville toute pourrie) pour des formalités administratives.
Pour avoir une petite idée des dortoirs, et encore là, c’était bien rangé :
Et Isla Mujeres :
Pas bête la porte en tuyauterie pvc :
Bref, je suis maintenant en attente à Cancun en attendant de régler des formalités, et après, le plus vite possible direction
Voilà, alors mon ressenti pour le Mexique, du moins ce que j’ai vu au Mexique : ambiance sympa, gens souriant et chaleureux, des chouettes trucs à voir mais c’est peu répétitif et surtout c’est trop touristique pour moi.
Voilà, à certainement dans un mois, parce que là, ça fait trop long et c’est beaucoup trop de boulot après pour faire un article.
A plus